L’avocat moderne doit être bien plus qu’une personne dotée de diplômes, d’expériences et de connaissances, il doit être un ensemble de traits de caractères, de rêves, de talents et d’énergie qui font sa personnalité, et qui laisse entrevoir son potentiel d’évolution.
De plus, l’avocat moderne se doit d’être l’aboutissement d'une double ambition, à savoir consacrer son activité professionnelle à ceux qui sont résolument tournés vers l'avenir et changer le regard que l'on porte sur le métier d'avocat.
Le résultat c'est avocat performant, souple, combatif, accessible et innovant.
Titulaire d’un Master II Professionnel (D.E.S.S) en droit des Affaires, d’un Master II Recherche (D.E.A) en droit des obligations civiles et commerciales, d’une maîtrise de Droit Privé ainsi que d’une maîtrise de Droit Public général obtenus à l’Université de Droit et Sciences Politiques de REIMS (URCA), j’ai eu, très jeune, l’ambition d’embrasser la profession d’avocat.
À l’issue de mon parcours universitaire, j’ai eu l’opportunité d’acquérir une expertise pratique variée notamment en qualité de juriste au sein de plusieurs cabinets d’avocats mais également, pendant plusieurs années, en qualité de dirigeant d’entreprise dans le domaine de l’agroalimentaire.
Fort de cette assisse pratique et de l’obtention en 2014 du certificat d’aptitude à exercer la profession d’avocat (CCDL), j’ai décidé de débuter ma carrière d'avocat au Grand-duché de Luxembourg en prêtant serment en 2017.
Mes expériences professionnelles, riches et pluridisciplinaires, m’ont permis de forger ma propre vision de la profession d’avocat et de m’amener vers la réalisation de mon propre projet.
Par ailleurs, j'ai grandi au sein d’une famille d’entrepreneur ce qui m'a conduit très tôt à adhérer à la culture entrepreneuriale, et notamment à l’idée que la réalisation des objectifs de l’entreprise implique nécessairement de défendre et de promouvoir une éthique professionnelle.
C’est donc naturellement que j’ai transposé cette logique à l’exercice de ma profession, dans la mesure où l’avocat, en qualité de conseil, de confident, de défenseur d’une position et d’interprète d’une volonté, doit défendre une éthique à l’égard des clients, des confrères, des juges et des autres acteurs de la vie économique ou judiciaire.
Cette éthique est fondée sur le strict respect des règles ordinales, le respect de la confiance donnée, la loyauté dans les négociations et procédures judiciaires, ainsi que de la transparence des relations.
Pour cela, j’ai adopté une rigueur de travail et une organisation visant à garantir, aux clients du cabinet, l’assurance que les prestations qui lui sont fournies répondent de manière efficace et opérationnelle à leurs besoins.
Cette éthique passe, également, par la promotion de valeurs essentielles notamment la disponibilité, la réactivité, l’innovation, la connaissance du client, la compréhension des besoins, et la qualité de la prestation.